Référencement web et l'amélioration de sa présence dans les moteurs de recherche, tout est décortiqué par Easy, votre agence de communication à Saint-Rémy de Provence.

Web-référencement ou comment améliorer sa présence dans les moteurs de recherche

Comment améliorer sa présence dans les moteurs de recherche ?

Les algorithmes des moteurs de recherche sont complexes. Ils comprennent des dizaines de critères que les experts SEO (« search engine optimization ») regroupent en trois volets essentiels :

1. Le contenu

Un moteur de recherche comme Google désire avant tout servir aux utilisateurs un contenu de qualité, pertinent par rapport à l’expression recherchée. Google tiendra compte des mots clés présents dans le code source de la page web, en accordant davantage d’attention à certains éléments clés, comme les titres par exemple.

Les balises <title>

Les mots clés contenus dans cette balise influencent fortement le positionnement, notamment sur Google. Il est recommandé de ne pas dépasser les 68 caractères affichés dans les pages de résultats des recherches. Si on oublie la balise <title>, la page sera étiquetée « Untitled document » ou quelque chose du genre, ce qui n’est pas très attrayant.

Le contenu texte, dans le corps de la page, est également pris en compte par les moteurs de recherche. Avec une priorité pour les titres (balises <h1>, <h1>, etc.), les premiers mots de la page, les mots graissés, ainsi que les hyperliens. Les titres explicites seront avantagés. Mieux vaut titrer « Formulaire de remboursement des frais postaux » que « Formulaire 01 FP ».

Les balises <meta>

Ces informations, présentes dans le code source des pages web, sont destinées à aider les moteurs de recherche à référencer. La balise <meta description> est prise en compte par les moteurs, et parfois affichée dans les résultats. Elle est censée décrire le contenu de la page en moins de 200 caractères. En revanche, Google ne tient plus compte de la balise <meta keywords>. Les mots clés qu’elle contenait ont fait l’objet de trop d’abus.

L’URL de la page

Le nom de domaine sera porteur s’il contient un nom propre ou commun susceptible d’être recherché par les internautes. Par exemple, on préférera www.signalétique.fr à www.signa1-atel.fr. L'URL ne se limite pas au nom de domaine : les noms des fichiers et des répertoires ont également leur importance. Il faut : adopter des noms de pages riches en mots clés, utiliser les traits d’union comme séparateurs.

Refusez les CMS qui génèrent des URL barbares sans en permettre la maîtrise.

La fraîcheur de l’information joue en notre faveur. Un positionnement dans les moteurs de recherche n’est jamais acquis. Si on laisse un site web à l’abandon on le verra régresser progressivement vers les profondeurs du classement. Il faut donc habituer Google à ce que le site bouge, sous peine de se faire oublier.

L’ancienneté du nom de domaine est un gage de crédibilité. Il semble que Google privilégie les sites web qui sont « dans la place » depuis plusieurs années, surtout lorsque ces derniers continuent d’actualiser leurs contenus. Un nouveau site web devra prendre son mal en patience et attendre, parfois plusieurs mois, avant d’acquérir de la visibilité.


2. La popularité

Internet est devenu tellement fécond que de nombreux sites web se positionnent bien évidemment sur les mêmes mots clés. Google tente alors de faire le tri entre les pages web les plus pertinentes et les informations plus anecdotiques. Dans cet énorme jeu de ricochet de l’information auquel se livrent les acteurs du Web, les moteurs de recherche essaient tant bien que mal de distinguer l’original de la copie. L’antériorité d’un contenu peut avoir un avantage, mais surtout sa popularité.

Les liens entrants

Google attribue une note de 0 à 10 (le « PageRank ») à chaque page web. On parle également de la notion de « TrustRank » (indice de confiance d’une page web). Il faut surtout retenir que la popularité se mesure essentiellement au départ des liens entrants. La quantité mais surtout la qualité des références que d’autres sites web établissent vers le site va lui être profitable.

Inviter des partenaires à faire des liens vers son site est une bonne option. Par contre, il est impératif de refuser les échanges de liens massifs, sans relation sémantique à son contenu. Ils risquent d'être pénalisant.

 

À noter : la popularité au sein des réseaux sociaux, le « J’aime » de Facebook, le « Retweet » de Twitter, et bien sûr le « +1 » de Google Plus font partie des indicateurs de succès social d’un contenu dont Google tient de plus en plus compte aujourd’hui.


3. Le respect des standards techniques

La propreté du code source reste un élément nécessaire à la qualité du référencement. Google est capable d’indexer le contenu texte HTML, éventuellement des fichiers PDF, Word ou Powerpoint, mais se heurte à davantage de difficultés lorsqu’il s’agit d’indexer d’autres formats : animations Flash, séquences vidéo, contenus dynamiques, bases de données, etc.

Respecter les standards, c’est aussi permettre aux robots de Google d’interpréter le contenu efficacement, avec les bonnes balises et la bonne syntaxe. Avec l’avènement du Web mobile, cet aspect est encore plus important : si Google considère que le site web n’est pas adapté à une consultation mobile, il le déclassera.


Comment évaluer la qualité du référencement ?

Effectuer quelques coups de sonde sur le nom de la marque est une approche bien trop simpliste lorsqu’il s’agit d’évaluer sa présence sur la toile.

Le top 10 des mots clés ne pèse que 15 à 20% du trafic en moyenne. La majorité du trafic provient, en réalité, de l’accumulation d’une infinie variété de micro-requêtes. Trop d’attention est accordée à la tête de la "longue traîne", qui porte souvent sur la marque, facile à référencer.

La meilleure manière d’évaluer l’efficacité du référencement aujourd’hui est de plonger dans les statistiques de trafic et d’y consulter les volumes de visite en provenance des différents moteurs et des différentes expressions de recherche.

 

Une astuce très utile : utiliser le filtre de Google Analytics pour concaténer les recherches liées à un même thème. Une manière de voir un peu plus clair au sein de la "longue traîne".

 

Il faut recourir à des professionnels du référencement

Le référencement est une science complexe en mouvement. Une science qui repose sur une triple compétence : technique, rédactionnelle et marketing. Il est donc nécessaire et appréciable que des experts s’y astreignent et en fassent un métier à part entière.

Le recours à des professionnels du référencement est une condition indispensable pour avoir droit au chapitre, car ils feront ce qui suit :

Écrire naturellement
Par exemple, l’exagération dans la répétition des mots clés, peut nuire. Depuis début 2012, Google se montre encore plus strict à ce sujet.


Écrire simplement
Le jargon est un obstacle au référencement. Donc utilisation des mots que les gens cherchent, et non une langue administrative ou des poésies commerciales.


Écrire souvent
Bien que la popularité d’un contenu prime sur son actualisation à tout crin, ces derniers mois, Google a renforcé l’importance du critère de fraîcheur de l’information, particulièrement sur certains thèmes sujets à l’actualité.

 

Certaines sociétés spécialisées dans le référencement jouent parfois un jeu dangereux. Elles n’hésitent pas à mettre en place des stratégies à la limite du tolérable : texte caché, pages satellites, batteries de liens surfaits, répétition abusive de mots clés, échanges de liens massifs, etc. Les spécialistes en référencement rivalisent de créativité pour faire apparaître leurs clients en première ligne. Mais les conséquences peuvent être désastreuses lorsque le moteur de recherche en vient à considérer une pratique comme inacceptable.

Pour ne citer qu’un exemple, en février 2006, la société BMW a vu son site web rayé de la carte par Google pour pratiques douteuses en matière de référencement. Les choses sont rentrées dans l’ordre, en quelques jours, Google ayant accepté les arguments du constructeur automobile qui, en passant, a remercié son prestataire en référencement. Cependant, tout le monde n’est pas logé à la même enseigne : certains sites web, placés sur la liste noire, ont bien du mal à corriger le tir.

En dehors de toute considération morale, un référencement naturel, basé sur du contenu réel, reste une stratégie plus solide à long terme. Miser sur des artifices risque, à tout moment, de faire basculer dans l’ombre, de donner une mauvaise image et de distraire de la stratégie éditoriale. Au final, même si on attire du trafic, ce trafic ne sera pas très qualifié. Il générera des visites peu engagées, avec des taux de conversion négligeables. Rien ne vaut le contenu respectable.

Easy, professionnel du référencement, vous aidera à renforcer la stratégie de contenu pour une présence maximale sur le Web. Une analyse sémantique détaillée de l'espace concurrentiel sur Internet, ainsi que des volumes et des tendances de trafic, permettront d’optimiser l'approche : choix des noms de domaine, choix des thématiques et des sous-thématiques, choix du vocabulaire, synonymie, etc. Main dans la main, rédacteur et référenceur travailleront pour agripper la « longue traîne » (concept qui désigne la grande masse de trafic constituée par l’accumulation d’une infinie variété de requêtes). Le référenceur donnera au rédacteur les outils et les moyens de sa politique.

Le recours à nos services, peut surtout s’avérer utile dans certains cas complexes. Notamment lorsqu’il s’agit d’indexer un site multilingue, un site construit sur des bases de données, un site contenant des frames (permettant d'afficher plusieurs pages HTLM dans différentes zones ou cadres en français) ou du contenu en Flash, etc. Ou encore lorsqu’il est question d’optimiser le CMS (outil de gestion de contenu) du point de vue du référencement.

Easy, c'est aussi une agence experte en référencement depuis plus de 10 ans. Nous vous aiderons à identifier les réseaux sociaux, les annuaires généraux et spécialisés et autres lieux qui drainent du trafic et peuvent en apporter pour votre site et votre activité.

Nous vous guiderons à travers les solutions payantes : achat de mots clés, espaces publicitaires, liens sponsorisés, etc. Cette visibilité payante peut venir compléter une stratégie de référencement naturel. Le référencement payant a l’avantage de la rapidité ( par exemple pour des événements ou des campagnes), là où le référencement naturel demeure une lente et patiente construction de la présence éditoriale.